 Articles parus dans les médias, extraits
NEUE ZUERCHER ZEITUNG (2003)
Nuits d’été in Winterthur
…Diesen brüchigen, an Grenzen des Ausdrucks gehenden Tonfall traf
Brigite Balleys auf berührend intensive und farbenreiche Weise. Eine
hoch inspirierte Interpretation…
OPERA
Le Fou de Landowski (2000, Montpellier)
Enfin, il y a Brigitte Balleys, en Isadora, se révèle un tragédienne
de haut vol, ue sorte de douleur incarnée qui sans fard, ni artifice,
vous arrache les larmes. Antoine Livio
LE MONDE DE LA MUSIQUE (1999)
On retiendra l’impressionnante interprétation tourmentée et
volcanique de Brigitte Balleys dans le rôle titre (Dido d’Henri
Desmarest à Beaune)
GRAMOPHON (1998)
Comparaison discography Nuits d’été de Berlioz
…almost every that Brigitte Balleys does in Les Nuits d’été is
inspirational,….her atmospheric employement of words…., the gradual
warming of events of timbre…, the sudden intensity…. and the final,
almost whispered….
If I personally opt for Balleys, it is because her every note is
alive …
OPERA INTERNATIONAL (avril 1997)
L’Argia
…commençons pas Brigitte Balleys. Dotée d’une capacité de
concentration qui n’est l’apanage que de très grands interprètes (en
fait, ceux qui réussissent, avec égal bonheur, à la scène ou dans la
mélodie ou le Lied) elle dessine une ARGIA tourmentée, et nous en faire
percevoir le moindre des mouvements d’âme ; sa voix longue, au timbre
toujours maîtrisé-même dans les éclats dramatiques-, et son permanent
souci du beau geste vocal, sont autant d’atouts pour affirmer, que nous
avons assisté, ce soir-là, à l’un des rares inoubliables souvenirs de
spectateur lyrique. Frank Langlois
LE MONDE (1996)
Brigitte Balleys vient de graver la plus fascinante et névrotique
version des Nuits d’été de Berlioz, avec Philippe Herreweghe (Harmonia
Mundi Renaud Machart)
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